Discours d'Yves DELAUNE, Maire d'Arelaune sur Seine 

Ma chère Yvette,

-C’est une joie de t’accueillir dans ces circonstances, à l’occasion de ce moment solennel des vœux.

-Yvette, il y a quelques mois, nous avions la joie d’apprendre que tu avais reçu la médaille de la Société des Arts, des Sciences et des Lettres. Un bel hommage et un hommage justifié récompensant ton rôle dans le développement des pratiques artistiques.

Mais tes activités débordent largement ce cadre artistique puisque ton engagement s’exerce bien au-delà. Originaire du Nord, tu as, comme tes congénères, le sens de la solidarité, d’une solidarité qui dépasse les frontières. Tu t’es engagée très tôt dans l’échange et l’entente entre les peuples en participant activement à différents comités de jumelage et notamment, celui de la presqu’île de Brotonne. Membre de l’association « France-Pologne », membre du comité des échanges internationaux de la ville d’Yvetot, tu as œuvré au rapprochement des hommes dans un idéal de paix et de construction de l’amitié par-delà les frontières.

-Je reviens, si tu me permets, aux Arts. Tu peins pour notre plus grand plaisir mais tu es également l’organisatrice d’un évènement artistique majeur dans notre commune : le « salon d’automne de peinture et de sculpture ». Avec ton amie, ta collaboratrice, ta complice, devrais-je dire, Michèle VIZANOVA, vous conviez les artistes d’un territoire qui ne cesse de s’élargir. Ce salon, tu l’as voulu comme un lieu de découverte d’hommes et de femmes partageant la même passion mais aussi comme un lieu où émergent de nouveaux talents. C’est un lieu d’échanges où la convivialité est de règle et l’amitié, une valeur partagée.

Merci à toi, très sincèrement et très chaleureusement !

Avant de céder la parole à Alain GOUPY qui te remettra la médaille de bronze de la Jeunesse, des Sports et c’est ton domaine d’élection, celui de l’engagement associatif, j’ai le grand honneur de te remettre la toute nouvelle médaille de la commune d’Arelaune. Qu’elle soit le symbole de toute notre reconnaissance mais aussi de l’amitié que nous te portons.

Je crois que nous pouvons l’applaudir…